ÉPERMAILLE, CE SAMEDI 11 JUIN DERNIER
de Maurice Monsaingeon à propos de la ferme d'Epermaille et de sa situation :
"On peut perdre son temps, ses chaussures, ses parents, patience et bien d'autres choses encore. Mais on ne perd plus de" mailles". C'était une petite monnaie.
Un tel terrain était de peu de rapport. On disait aussi un" perd pain"".
Dans la jungle d'Épermaille, les défricheurs
Ça prend forme
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aux pieds, les gars !
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tiens, y avait une borne Berger |
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encore un petit coup de sécateur par là |
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Yves et la préservation de la faune aquatique |
Finitions et after
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une traverse de chemin de fer, une tronçonneuse, ...
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... un banc |
 | l'équipe du jour sauf Claude à la prise de vue
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.JPG) | les stars |
et vous reprendrez bien un peu de Monsaingeon :
"Epermaille, c'était un "es perd maille", un endroit où la culture ne rapportait pas beaucoup ; on y perdait son argent en semant (la maille était une pièce de monnaie). Vous voyez que ce n'est pas d'aujourd'hui que les agriculteurs se plaignent. Le coteau en-dessous à l'est s'appelle 'l'éteignard" ce qui correspond en patois à "es tanières" (le logis des blaireaux). La ferme de la ravouse, plus bas, n'a rien à voir avec les raves ; autrefois, il y a eu un moulin sur l'Oze ; la construction était installée sur un courant de la rivière ; c'est le latin "rapidosus" qui a donné ce nom et je pense que le ravois de Chevannay a la même origine."
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